Comme le thème fondamental de ce livre, la relation entre l’Absolu et l’Être peuvent être pensé dans le cadre de l’idée de la dualité en même temps. Si l’Absolu représente l’Infini et l’Être représente le Fini; la dualité de l’Absolu et de l’Être aussi est une dualité inachevable comme la dualité de l’Infini et du Fini. Comme l’élément plus essentiel, l’Absolu se manifeste dans l’Être; mais il faut dire que l’Absolu ne consiste pas seulement de sa manifestation et que l’Être ne serait pas seulement la manifestation de l’Absolu. Nous devons accepter un mystère à propos de cette relation dans deux sens: l’un est le mystère lié à l’Absolu à partir de son altérité; l’autre est le mystère lié à l’Être à partir de son irréductibilité à l’Absolu bien que celui-ci soit son principe. De toute façon, nous affirmons que la relation entre l’Absolu et l’Être se dérive d’une dualité inachevable; parce que dans le cas où cette dualité est achevée, ou bien l’Absolu se dissolve dans l’Être ou bien l’Être se dissolve dans l’Absolu. En effet, il n’y resterait ni l’Absolu, ni l’Être.
Comme le thème fondamental de ce livre, la relation entre l’Absolu et l’Être peuvent être pensé dans le cadre de l’idée de la dualité en même temps. Si l’Absolu représente l’Infini et l’Être représente le Fini; la dualité de l’Absolu et de l’Être aussi est une dualité inachevable comme la dualité de l’Infini et du Fini. Comme l’élément plus essentiel, l’Absolu se manifeste dans l’Être; mais il faut dire que l’Absolu ne consiste pas seulement de sa manifestation et que l’Être ne serait pas seulement la manifestation de l’Absolu. Nous devons accepter un mystère à propos de cette relation dans deux sens: l’un est le mystère lié à l’Absolu à partir de son altérité; l’autre est le mystère lié à l’Être à partir de son irréductibilité à l’Absolu bien que celui-ci soit son principe. De toute façon, nous affirmons que la relation entre l’Absolu et l’Être se dérive d’une dualité inachevable; parce que dans le cas où cette dualité est achevée, ou bien l’Absolu se dissolve dans l’Être ou bien l’Être se dissolve dans l’Absolu. En effet, il n’y resterait ni l’Absolu, ni l’Être.